Palmarès de la 22ème édition des Journées cinématographiques de Carthage
Le jury de cette compétition, présidé par l’écrivain M. Yasmina Khadra, a proclamé son palmarès comme suit :
> Compétition officielle cinéma
Longs métrages :
Tanit d’or Teza de Haile Gerima (Ethiopie).
Tanit d’argent : Leïla’s Birthday de Rashid Masharaoui (Palestine).
Tanit de bronze : Khamsa de Karim Dridi (Tunisie).
Prix spécial du jury : La maison jaune de Amor Hakkar (Algérie).
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cinématographiques de Carthage (JCC 2008) démarreront le 25 octobre prochain à Tunis
L'Afrique anglophone sera présente au cours
des JCC 2008 avec des œuvres en provenance du Nigeria, tandis que
l'Afrique lusophone sera représentée par le Mozambique et le Cap-Vert.
A noter également les participations en compétition de films en provenance de l'Afrique du Sud et de l'Ethiopie.
«Entre les murs» de Laurent Cantet, palm d'or à Cannes sera présenté au festival.
Av...
La conférence de presse officielle des JCC s'est tenue le 16 octobre à 10h30 mn à l'ATCE.
Nous vous communiquerons le programme sous peu
Un hommage appuyé sera rendu à Youssef Chahine,
mais aussi à Ahmed Attia, producteur-réalisateur et ancien président
des JCC (de 1992 à 1994) et Sembene Ousmane ainsi qu’à Elyès Zrelli,
l’un des meilleurs premiers assistants réalisateurs tunisiens et auteur
du court-métrage Coming Soon.
«Silence», film doc...
Des images, des sons, des couleurs, du noir et blanc, des discussions passionnées et parfois orageuses autour d’un film, des vedettes et des talents débutants, le monde arabe et le continent africain réunis pour s’apprécier et échanger, les JCC offrent tout cela à la fois, à leurs hôtes et au public tunisien.
La session 2008 se veut le reflet de son temps. Elle donnera à voir des histoires grâce aux films venus de différentes parties du monde. Elle donnera à réfléch...
J’emploierais volontiers cette parabole : si vous marchez à côté de votre père et qu’il tombe le visage dans la boue, que faites-vous ? Vous l’aidez à se relever et vous lui essuyez le visage avec votre veste ou votre chemise. Le visage de mon père, c’est l’islam, j’ai essayé de l’essuyer avec mon film en montrant une culture musulmane tolérante et hospitalière, pleine d’amour et de sagesse... Bref, une image qui ne cadre pas avec l’image de l’islam véhiculée par...
